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du Centre interuniversitaire
d'études québécoises (CIEQ)
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No d'identification : 57 Collection Centre interuniversitaire d'études québécoises Information documentaire Les Bois-Francs : 1er volet d'une série qui relate l'histoire de la région. En 1843, il y a 1062 colons à Somerset. Population semblable à Stanfold et Arthabaska. Conditions socio-économiques et origines des premiers colons. Description des misères des premiers arrivants. - Entraide et charité pour la deuxième génération de migrants. - Marchands remplissent les magasins de denrées mais les immigrants sont trop nombreux et la demande est trop forte pour soulager les besoins. - Coupe des arbres et feu pour réduire en « salt », cette cendre qu'on portait aux marchands de l'endroit qui sert pour fabriquer potasse et perlasse. - Seule ressource avec sirop d'érable. - Habitants recevaient en échange des provisions de bûches + vêtements. - Manque absolu de chemins pendant l'été (isolement) empêche les marchands de s'approvisionner et d'expédier leur alcalis au marché. Manque de denrées force les habitants à franchir à pied la savane pour s'approvisionner dans les paroisses du bord du fleuve. Trajet par bandes de 10-15 hommes. Description des conditions difficiles du périple. Référence Le Mégantic, vol. 1, no 6 (20 janvier 1900) : 1 (équivaut à vol. 2, #2). |
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No d'identification : 67 Collection Centre interuniversitaire d'études québécoises Information documentaire L'histoire des Bois-Francs, 2e partie. Évocation du courage des ancêtres fondateurs venus de France. - Relation de la découverte du territoire : les pionniers prennent possession des terres habitables qui forment la partie des Cantons de l'Est connue sous le nom de Bois-Francs. Bois-Francs : nom donné au départ aux seuls cantons de Somerset, Stanfold et d'Arthabaska, mais cette dénomination s'est ensuite étendue aux cantons d'Inverness, Halifax, Chester, Warwick et de Ham. Noms à consonance anglophone mais on y respire l'air de la patrie... - Forêts connues dès avant 1830... - Habitant de Saint-Pierre-les-Becquets est venu l'hiver en raquettes pour piéger au bord de la rivière Blanche. Plusieurs chasseurs visitent le territoire avant de s'installer. Édouard Leclerc, de Saint-Grégoire, remonte la rivière du Loup (une branche de la rivière Nicolet qui traverse cantons de Stanfold et d'Arthabaska) en 1832 ou 1833 pour s'installer à Stanfold. Leclerc est le premier à s'installer et à construire sa demeure sur le territoire des Bois-Francs. Référence Le Mégantic, vol. 1, no 7 (27 janvier 1900) : 1. |
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No d'identification : 74 Collection Centre interuniversitaire d'études québécoises Information documentaire Les Bois-Francs, 3e partie. L'installation du premier pionnier entraîne bientôt l'arrivée d'une forte émigration. - Le manque de terres dans les seigneuries force la jeunesse à partir vers les États-Unis qu'elle n'aurait jamais dû connaître : les Bois-Francs sont une alternative. - Trois pionniers venus de Saint-Grégoire joignent Leclerc dans Standfold. - Un habitant de Baie-du-Febvre (Jean-Baptiste Lalonde) et son fils de Bulstrode ouvrent une terre dans Somerset, et le printemps suivant (1836), sa famille le rejoint. D'autres pionniers arrivent lentement. - Ennui et isolement des colons, mais l'appel patriotique pour « s'emparer du sol » les fait partir l'espoir au coeur. - Les premières semences donnent lieu à des belles récoltes qui font dire que la terre est très fertile. Le bruit s'en répand dans les paroisses du district de Trois-Rivières : arrivée de nouvelles familles dans les Bois-Francs. - La colonisation se fait au prix de grandes souffrances. - Difficultés pour atteindre les terres : il faut traverser la savane de Blandford, et surtout de Stanfold, qui n'est praticable qu'à pied et dans les saisons froides (marais). Chemin des colons couvert de branches pour passer à travers les bourbiers. Référence Le Mégantic, vol. 1, no 8 (03 février 1900) : 1. |
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No d'identification : 78 Collection Centre interuniversitaire d'études québécoises Information documentaire La construction de l'église l'été prochain apparaît comme un bon débouché pour les produits de la ferme et les marchandises du village de Notre-Dame-de-Lourdes en faisant venir des maçons sur place. Référence Le Mégantic, vol. 1, no 8 (03 février 1900) : 3. |
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No d'identification : 83 Collection Centre interuniversitaire d'études québécoises Information documentaire Les Bois-Francs, suite (4). Entretien du chemin des colons durant l'hiver par corvée : on battait la neige pieds nus. Difficultés de glacer le chemins, difficultés d'emprunter le chemin à pied ou en voiture. - Les vastes lieux disponibles permettent l'installation de nombreux colons. Les arrivées se font surtout l'hiver. On fait une récolte et la famille vient rejoindre le colon l'hiver suivant. - 1843 : 102 âmes à Somerset, accroissement semblable dans Stanfold et Arthabaska. - Les arrivants sont des gens pauvres, sans avances monétaires et avec peu d'outils et quelques provisions. - Vie commerciale peu vigoureuse au début. - Disette et misère souvent constatées. Charité et entraide entre anciens et nouveaux colons. - Le défrichement avance rapidement. Développement de la production de potasse et perlasse. - Mauvais approvisionnement et augmentation de l'émigration : pénuries fréquentes chez les marchands. - Pénibles voyages de ravitaillement en groupe dans les paroisses du bord du fleuve. Référence Le Mégantic, vol. 1, no 9 (10 février 1900) : 1. |
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No d'identification : 87 Collection Centre interuniversitaire d'études québécoises Information documentaire Les Bois-Francs, suite (5). Épuisement physique dû aux voyages de ravitaillement. - La perlasse et la potasse, inutiles sur les lieux de colonisation à cause des défauts d'approvisionnement, deviennent des objets d'échange si on va traiter soi-même ailleurs (Gentilly). - De nombreux colons vont donc vendre la cendre et le salt, au prix d'un long chemin et de brûlures occasionnées par le salt mal emballé. - Les femmes recueillaient des herbes, racines et baies pour nourrir la famille. Misère des familles. - Les colons sont sans prêtres. Néanmoins, ils trouvent consolation dans la prière. - Une croix était plantée en terre à Somerset où plusieurs se réunissaient le dimanche pour des prières en commun. Référence Le Mégantic, vol. 1, no 10 (17 février 1900) : 1. |
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No d'identification : 114 Collection Centre interuniversitaire d'études québécoises Information documentaire L'inventeur d'un nouveau procédé pour tanner le cuir prépare une consignation pour le Klondike [sic] (chaussures totalement à l'épreuve de l'eau). Référence Le Mégantic, vol. 1, no 13 (10 mars 1900) : 3. |
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No d'identification : 121 Collection Centre interuniversitaire d'études québécoises Information documentaire Des subsides provinciaux seront versés dont certains, selon le rédacteur, intéressent particulièrement la région. Premier investissement : le pont de Québec. Probablement confié à une compagnie de New York. On décrit le financement gouvernemental projeté de même que les conditions de la subvention. Les autres contributions sont énumérées. Second investissement : le chemin de fer de la Rive Sud, afin de construire un pont sur la Yamaska et un autre sur la Saint-François, que les municipalités pourront utiliser gratuitement pour les piétons et les voitures. Le gouvernement a le droit de contrôler la construction des ponts et de verser les subsides sur réception du pont. Le rédacteur souligne la prudence du gouvernement Marchand dans le placement de son argent. Référence Le Mégantic, vol. 1, no 15 (24 mars 1900) : 2. |
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No d'identification : 126 Collection Centre interuniversitaire d'études québécoises Information documentaire Signature d'un contrat pour la construction de l'église de Lourdes. Les plans ont étés dessinés par M. Bassières et s'inspirent d'une église tout juste terminée sur le chemin de Lévis, à Saint-Henri de Lauzon. L'entrepreneur est connu. Le bois est fourni par le maire de Lourdes qui, étant sur les lieux, peut veiller à tout. On se réjouit de l'activité et des profits qu'engendreront ces travaux. Référence Le Mégantic, vol. 1, no 15 (24 mars 1900) : 3. |
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No d'identification : 177 Collection Centre interuniversitaire d'études québécoises Information documentaire Le représentant de la maison « Alexander, Kelly & Co. », meuniers de Brandon, Manitoba, est venu régler des affaires avec son agent général pour la province de Québec, à Plessisville. Référence Le Mégantic, vol. 1, no 22 (12 mai 1900) : 2. |
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No d'identification : 189 Collection Centre interuniversitaire d'études québécoises Information documentaire M. T.Huard est l'agent pour la vente de la bière Proteau & Carignan. Il a obtenu une licence d'embouteilleur de bière. Référence Le Mégantic, vol. 1, no 25 (02 juin 1900) : 2. |
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No d'identification : 197 Collection Centre interuniversitaire d'études québécoises Information documentaire La Fonderie de Plessisville a coulé un énorme morceau de fonte destiné à la Compagnie de pulpe de la Jonquière. - La Fonderie prépare son inventaire annuel. Tout indique que ses bénéfices seront aussi élevés que l'année précédente. Référence Le Mégantic, vol. 1, no 26 (09 juin 1900) : 2. |
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No d'identification : 214 Collection Centre interuniversitaire d'études québécoises Information documentaire La compagnie d'instruments agricoles Moody and Sons dont l'agent principal est à Terrebonne fait distribuer sa marchandise par un agent local aux cultivateurs. - Passage au village de Plessisville de l'agent général de la compagnie. Référence Le Mégantic, vol. 1, no 29 (30 juin 1900) : 2 (suite: 1, 35, p. 3). |
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No d'identification : 270 Collection Centre interuniversitaire d'études québécoises Information documentaire Dans la plupart des églises du comté de Mégantic, on annonce le pèlerinage annuel à Sainte-Anne de Beaupré pour le 9 juillet. Le départ se fait de Plessisville, à 11h30 du matin. Retour le 10 juillet: on quitte Sainte-Anne à 8h. Prix: 1.50$ de Plessisville, 1.45$ de Sainte-Julie et moitié prix pour les enfants. Plusieurs habitants de Lourdes devraient participer. Référence Le Mégantic, vol. 1, no 29 (30 juin 1900) : 3. |
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No d'identification : 277 Collection Centre interuniversitaire d'études québécoises Information documentaire La lumière électrique n'est pas disponible au jour prévu (5 août) à Plessisville, à cause d'un retard dans l'arrivée du matériel commandé par la Compagnie électrique. On prévoit avoir l'électricité autour du mercredi ou du jeudi (7 ou 8 août). Référence Le Mégantic, vol. 1, no 34 (04 août 1900) : 2. |
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No d'identification : 294 Collection Centre interuniversitaire d'études québécoises Information documentaire Il y a un emploi de traversier à Lourdes. Référence Le Mégantic, vol. 1, no 38 (01 septembre 1900) : 3. |
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No d'identification : 343 Collection Centre interuniversitaire d'études québécoises Information documentaire « M.C.G. Dorval, marchand de ce village, est entré au service de la maison Gauvreau et Belleau de Québec, en qualité de voyageur de commerce. » Référence Le Mégantic, vol. 1, no 48 (17 novembre 1900) : 2. |
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No d'identification : 342 Collection Centre interuniversitaire d'études québécoises Information documentaire « La Fonderie de Plessisville, ayant exécuté le contrat de la Pulperie de Jonquières à la grande satisfaction des intéressés, voilà que M. Hurtubise a été appelé à Montréal [...] pour conclure un contrat avec une maison millionnaire de New York. » Les travaux doivent être terminés en 60 jours et moins. Référence Le Mégantic, vol. 1, no 47 (10 novembre 1900) : 3. |
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No d'identification : 440 Collection Centre interuniversitaire d'études québécoises Information documentaire Organisation d'un concours de tir à Kinnear's Mill où se rendent des concurrents de Plessisville. Un concours semblable a eu lieu à Coaticook, où ces tireurs de Plessisville semblent s'être distingués. - Résultat du concours de tir de Kinnear's Mill, où des tireurs de Plessisville se sont distingués (les noms et les classements des divers concours sont donnés). Référence Le Mégantic, vol. 1, no 38 (01 septembre 1900) : 2 (suite: 1, 41, p. 2). |
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No d'identification : 567 Collection Centre interuniversitaire d'études québécoises Information documentaire Le Nicolétain est temporairement imprimé à Saint-Justin dans le comté de Maskinongé, sur les presses de L'Écho de Saint-Justin. Référence Le Nicolétain, vol. 1, no 1 (06 décembre 1933) : 1. |
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No d'identification : 683 Collection Centre interuniversitaire d'études québécoises Information documentaire Compte rendu de l'assemblée annuelle de la Compagnie de Téléphone de Nicolet. On a donné lecture des comptes (environ 5 000$ de surplus actif vs passif), du rapport annuel. Discussions d'intérêt général, notamment sur l'ouverture du Central le dimanche et la nuit. Cela se pratique depuis un an, mais les employés de Bell à Montréal, Sorel, Trois-Rivières et ailleurs ne semblent pas le savoir et refusent d'acheminer les appels de l'extérieur sous prétexte de fermeture. Décision d'écrire à la Cie Bell et de lui demander d'informer ses employés de l'état des choses. Liste de certains actionnaires, réélection des membres du bureau de direction (noms et offices). La Cie de Téléphone de Nicolet existe depuis 30 ans, ses abonnements augmentent, en ville comme en campagne. Elle est propriétaire de la bâtisse qui loge le Central. Louanges pour les améliorations et services. Référence Le Nicolétain, vol. 1, no 8 (21 mars 1934) : 4. |
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No d'identification : 741 Collection Centre interuniversitaire d'études québécoises Information documentaire Rabais du Canadien National pour aller visiter l'Exposition mondiale de Chicago. Il s'agit de tarifs spéciaux de chemin de fer pour le départ du vendredi 25 mai; le retour doit s'effectuer au plus tard le mardi 29 mai. Il y a quelques restrictions. Aller-retour de Victoriaville pour 14.50$. L'exposition ouvre le samedi 26 mai. - Nouvelle annonce du Canadien National pour la fin de semaine de l'Action de grâce : visite à Chicago, départ le vendredi 5 octobre de Victoriaville, pour quatre jours : 14.50$. Retour au plus tard le 9 octobre. Heures de départs de certaines gares données, certaines restrictions et renseignements (lieux, heures, train spécial, etc.). Référence Le Nicolétain, vol. 1, no 12 (23 mai 1934) : 2 (suite:1, 21, p. 3 ). |
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No d'identification : 783 Collection Centre interuniversitaire d'études québécoises Information documentaire Les avantages et les inconvénients, pour un cultivateur, d'habiter près d'une ville. L'article est signé : « Un campagnard ». Référence La Gazette d'Arthabaska, vol. 1, no 17 (21 mars 1908) : 4. |
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No d'identification : 664 Collection Centre interuniversitaire d'études québécoises Information documentaire Annonce du Canadien National pour certains départs en divers points de la région pour la fin de semaine du 24-25 février : Victoriaville, Sainte-Monique, Pierreville, Sorel, etc. On donne les moments de départ et de retour. Direction : Doucet's Landing. Référence Le Nicolétain, vol. 1, no 6 (21 février 1934) : 3. |
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No d'identification : 777 Collection Centre interuniversitaire d'études québécoises Information documentaire Le Canadien National offre des excursions pour découvrir l'Ouest du Canada « à un sou du mille ». Départ quotidien du 10 au 30 juin, délais de validité de 45 jours. Plusieurs destinations indiquées et renseignements sur les exigences du voyages (wagon-lits touristes ont un supplément sur les wagons de première), les arrêts, les billets, etc. Aller-retour de Victoriaville. Référence Le Nicolétain, vol. 1, no 13 (06 juin 1934) : 2. |
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