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du Centre interuniversitaire
d'études québécoises (CIEQ)
Index onomastique
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No d'identification : 11 620 Collection Centre interuniversitaire d'études québécoises Information documentaire Avis public (datant du 14 février) s'adressant aux électeurs du comté de Drummond, concernant l'Acte de tempérance (1878). «Est par les présentes donné qu'un avis par écrit adressé au Secrétaire d'État du Canada et une pétition, adressée au Gouverneur général en Conseil, pour obtenir un nouvel arrêté rendu en Conseil, pour révoquer l'arrêté de Conseil mettant la deuxième partie de "l'Acte de Tempérence du Canada 1878" en force dans le comté de Drummmond». Au moins le quart des électeurs devra avoir signé. Les électeurs qui signent l'avis: J.A. Bousquet et Joseph Jones. - À la suite de cet avis, des gens du comté de Drummond se sont réunis pour former un groupe des amis de la tempérance. On donne une liste de plusieurs des personnes présentes à cette assemblée. Il y eut un discours du secrétaire de la Dominion Alliance, J.H. Carson, qui a félicité les gens de se réunir contre le commerce des «liqueurs enivrantes» et qui a conseillé aux gens de l'assistance de constituer une Alliance dans le comté. Des listes ont alors circulé à cette fin et déjà l'élection des officiers (leur nom est indiqué) a pu être faite. On dit que les amis de la tempérance ont la sympathie du clergé. Concernant les causes juridiques où le Scott Acte a été enfreint, J.H. Carson a déclaré «qu'on pourrait prendre les actions en son nom, jusqu'à ce que l'Alliance du comté soit complètement organisée» (23, 8, p. 2). Référence L'Union des Cantons de l'Est, vol. 23, no 7 (16 février 1889) : 3 (suite: 23, 8, p. 2). |
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No d'identification : 13 684 Collection Centre interuniversitaire d'études québécoises Information documentaire Une action a été intentée samedi dernier contre les hôteliers de ce village par la Dominion Alliance, pour faire annuler la licence accordée par les commissaires fédéraux, malgré le règlement de prohibition passé par la corporation en janvier dernier. - L'action contre les hôteliers a été plaidée mardi dernier devant le juge en chambre. La défense a fait valoir que le règlement de prohibition passé par la corporation n'avait pas encore été signé par le maire dans le livre des procès-verbaux du conseil: on prétend que cette omission est fatale au règlement. Cause ajournée à mardi prochain (18, 25, p. 2). - La cause sera reportée au 10 courant. Le Rév. D.V. Lucas, demandeur, sera entendu comme témoin (18, 26, p. 2). - La cause des licences a été plaidée hier devant le juge Plamondon, qui l'a prise en délibéré (18, 27, p. 2). Référence L'Union des Cantons de l'Est, vol. 18, no 24 (24 mai 1884) : 2 (suite: 18, 25, p. 2; 18, 26, p. 2; 18, 27, p. 2). |
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